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14 juin 2012, par Journal de la Corse
Comme à la photographie, nous devons à la chanson de notre terre, agrément pour l’esprit et le cœur, de n’avoir point perdu notre passé ni celui de ces hommes, de ces femmes, de ces enfants que nous avons connus et aimés. Sortilèges qui, dans notre imaginaire, nous redisent où nous fûmes, quand nous fûmes. La chanson nous fait songer que tout ce qui a existé existe encore quelque part en une mélodie et des mots qui peuvent être indéfiniment ranimés. Bonne surprise : Dominique Vincenti fut, avec son frère (...)