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26 avril 2012, par Journal de la Corse
La Messe solennelle de Sainte Cécile de Charles Gounod est un pur chef d’œuvre. Elle lui valut le succès qu’il avait cherché en vain avec son opéra « Sapho » (1851) et « Ulysse » (1853). En 1859, « Faust » vint consacrer sa gloire. Dès 1847, en sa vingt neuvième année, il portait soutane et signait ses lettres : « l’abbé Gounod ». « Je me sentis, écrivait-il, une velléité d’adopter la vie ecclésiastique. Mais, il ajoutait : « je sentis au bout de quelque temps qu’il me serait impossible de vivre sans mon art » Il (...)