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            13 octobre 2011, par  Journal de la Corse
            Pour les ténors des grands  partis en France sur la même longueur d’onde de l’après présidentielle. Mettre la réduction de la dette parmi les priorités sinon en faire la priorité des priorités. Pour l’Etat français comme pour ceux du reste de l’Europe des dettes énormes et le paiement d’intérêts annuels vertigineux. En même temps, une croissance économique déficiente et pour celle-ci des prévisions pessimistes. Autrement dit, des rentrées d’impôts et de taxes en chute libre. Jusques là le citoyen sans qualité (...)