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10 février 2011, par Journal de la Corse
SILENCE, ELLE COULE !
On ne compte plus les grèves à la SNCM, au cours desquelles l’économie insulaire a été littéralement paralysée afin qu’une poignée de navigants puisse obtenir des augmentations de salaires pour conserver le confort de la profession. Et lorsque l’insulaire, à bout de nerfs et de souffle, crie sa colère on lui met aussitôt sous le nez le sacro-saint droit de grève au nom duquel il est permis de le prendre en otage et lui faire rendre gorge jusqu’à ce l’Etat d’abord, l’actionnaire (...)