En réponse à :
21 janvier 2011, par Journal de la Corse
Leo Battesti, interviewé par Radio Alta Frequenza, expliquait à juste titre qu’il était temps, grand temps qu’en Corse nous acceptions la réalité telle qu’elle est et non telle que nous la voudrions. C’est là la seule voie pour oser affronter un avenir qui tient en grande partie à ce que nous, les Corses, voudrons le dessiner. Il me semble que dans une telle perspective les élus insulaires mais aussi les représentants de l’état, à commencer par les préfets, devraient abandonner une fois pour toutes la (...)