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28 février 2013, par Journal de la Corse
Le rejet par la droite et le centre de toute réforme constitutionnelle compromet la ratification de la Charte européenne des langues régionales ou minoritaires.
L’UMP de Jean-François Copé a fait savoir au Premier ministre qu’elle rejetterait tous les projets de modification de la Constitution que leur présenterait le Président de la République. L’UDI de Jean-Louis Borloo a affirmé que, « par principe », elle était plutôt hostile à ce que l’on touche à la Constitution. Le PRG de Jean-Michel Baylet s’est (...)