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10 janvier 2013, par Journal de la Corse
L’année 2012 s’est achevée sur le sentiment fort désagréable pour la Corse d’être une fois encore mis au pilori par la France, d’être en quelque sorte devenu l’ennemi intérieur. Alors que la Corse a été dénoncée comme une matrice mafieuse, voilà que le Conseil Constitutionnel (de droite) brise brutalement la passerelle qui devait mener de la fin des arrêtés Miot en 2002 au droit commun en 2017. Pourtant à bien y regarder dans les deux cas, il y a eu, face à cette agressivité, un emballement et une riposte (...)