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20 décembre 2012, par Journal de la Corse
Le ministre de l’intérieur a une nouvelle fois stigmatisé les Corses à travers leurs élus trouvant que ces derniers n’avaient pas suffisamment condamné la récente nuit bleue qui, pour l’heure, n’a toujours pas été revendiquée. Il a ainsi rejoint Christophe Barbier, le directeur de l’Express dans une dénonciation qui une fois encore désigne une communauté entière et non plus un groupe activiste.
Un état perdu et éperdu
Manuel Valls doit se demander chaque jour comment ne pas se prendre les pieds dans le (...)