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22 novembre 2012, par Journal de la Corse
L’édito d’Aimé Pietri
L’assassinat d’Antoine Sollacaro et, quelques jours plus tard, celui de Jacques Nacer ont soulevé à travers la Corse colère et indignation. Et motivé la venue de deux ministres qui se sont appliqués à définir l’état de droit et indiquer comment le mettre en oeuvre. Avant eux, les élus ont donné de la voix afin de faire monter la pression dans toutes les couches de la société et alimenter les propos de comptoir. Tout en se donnant bonne conscience et Dieux sait s’il en faut pour faire (...)