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4 octobre 2012, par Journal de la Corse
Nous vivons une situation pérenne de pollution atmosphérique décrétée supportable et tolérable par les pouvoirs publics, mais qui n’est pas sans conséquences sur la santé.
Pour peu que l’on ait le nez un peu fin, la gorge un tantinet sensible et la vue un tant soit peu aiguisée, il est aisé de soupçonner que le centre de Bastia est sujet à la pollution atmosphérique. L’odeur âcre des fumées de navires est particulièrement perceptible quand le vent rabat celles-ci vers la cité. Ce qui, l’été venu, contrarie (...)