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16 août 2012, par Journal de la Corse
Après avoir abordé le sujet de la maladie d’Alzheimer et la vieillesse avec Odette une pigeonne messagère pas ordinaire, Lili Pissenlit poursuit l’aventure du roman jeunesse avec une nouvelle héroïne pas piquée des vers : Prune Lalune. Une véritable peste que personne ne rêverait d’accueillir et encore moins d’avoir comme proche parent. L’expression « mieux vaut l’avoir en peinture… » lui va comme un gant ! Début des aventures d’une Prune, persuadée qu’elle ne demande pas… la lune.
Peste !
Sacré caractère (...)