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19 juillet 2012, par Journal de la Corse
L’édito d’Aimé Pietri
Il ne s’agit pas de météo alarmante ni d’imprévisibles caprices climatiques capables de pourrir un été en moins de temps qu’il ne faut pour le dire. De ces conditions-là on pourrait, à la rigueur, s’en accommoder même si la petite laine ne fait pas tendance dans ce pays. Mais d’autres facteurs, moins naturels, peuvent affecter la belle saison, au point de la rendre invivable. Voyez les villages en cette fin juillet, à l’heure où les Corses de l’extérieur, ont rouvert les volets restés (...)