En réponse à :
8 juin 2012 19:39
Si vous vous bouchez les oreilles à l’écoute d’une langue dont l’esprit est massacré, c’est précisément un effet de la mort lente et des soubresauts induits par le militantisme de sa survie. Vous avez eu la chance de baigner dans un usage depuis votre enfance. Hélas, il n’en est pas de même pour tous les habitants nés dans l’île, loin de là, et de moins en moins, y compris par des parents et grands-parents parlant le corse. Ces derniers possèdent encore toutes ces articulations qui s’enseignent difficilement, que seule une diffusion globale sera à même de raviver, et, par ailleurs, de s’opposer aux (...)