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19 avril 2012, par Journal de la Corse
Nous voilà désormais édifiés : le crime en Corse est quasiment la conséquence d’un atavisme collectif et criminogène illustré par notre amour des armes.
Le moins que l’on puisse dire est que le candidat/président « ne manque pas d’estomac ». En un saut de puce d’un peu moins une demi-journée, entre Préfecture de Corse et Palais des congrès, il est venu nous rappeler de belles promesses en attente et en prodiguer de nouvelles qu’il réaliserait toutes s’il était réélu. En outre, il nous a fait la morale. (...)