En réponse à :
8 mars 2012, par Journal de la Corse
Lorsque cet article paraîtra, j’aurais rejoint depuis plusieurs jours la petite cohorte des grévistes de la faim en lutte contre les méthodes de la JIRS et pour la libération de Guy Orsoni.
Un combat pour des principes
Pas facile d’entrer en grève de la faim quand on est entré dans sa septième décennie, qu’on est le père de quatre enfants (dont trois ont moins de quinze ans) et grand-père de trois petits-enfants. On ne sait pas très bien ce qui peut se passer lorsqu’un organisme usé est privé de toute (...)