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17 novembre 2011, par Journal de la Corse
Les temps ont bien changé. Désormais, bien fol est celui qui laisse ouverte sa porte ou l’accès libre à son jardin. Et attendre le policier ou le gendarme, risque de devenir de plus en plus long.
Sur les murs d’une petite maison, un bombage de nazillon et un tag obscène mal dissimulé par une sorte de badigeon. Là, depuis plus de cinq ans, Hortense vit dans l’angoisse. On incendie des objets dans son jardin. On lance des pierres contre sa maison. On vandalise ou vole ses biens. On lui téléphone la (...)