En réponse à :
27 octobre 2011, par Journal de la Corse
Polyphonie corse et maloya réunionnais paraissent bien éloignés … presqu’antithétique. C’est ce qui vous a paradoxalement attiré ?
Du côté de la polyphonie il n’y a que les voix, du côté du maloya il y a des voix, des instruments, des rythmes. Moi, j’aime la voix parce que c’est l’instrument premier. L’important pour travailler avec A Filetta c’était de s’entendre sur la démarche à suivre et par rapport à nos positionnements de liberté.
Pourquoi ce petit bout de chemin avec A Filetta précisément ?
A la suite (...)