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1er septembre 2011, par Journal de la Corse
Dans le ronronnement de la rentrée littéraire l’inattendu, le subversif, le prémonitoire viennent d’une parole tue aux hommes depuis près d’un siècle mais dont l’écho vibre encore avec une impressionnante puissance. On doit ce devoir de mémoire à la nouvelle édition de A Cispra Antologìa annuale parue aux éditions Piazzola et superbement commentée par le descendant d’un de ses fondateurs, François Paoli, qui a mis au service d’une reconstitution historique et littéraire beaucoup de finesse d’âme, de cœur et (...)