En réponse à :
14 avril 2011, par Journal de la Corse
C’est une vieille évidence. Le disque nous permet d’entendre ce qui se produit aujourd’hui en matière d’enregistrement, mais aussi ce qui fut fait dans un passé plus ou moins lointain. C’est une chance, car certains artistes, et dans tous les genres, furent des inimitables, voire des exceptions. Ainsi, dans le domaine du jazz, d’un Charlie Parker, dit « Charlie » (1920-1955), saxophoniste alto Américain qui, au début des années 40 du siècle dernier, au Miton’s Club de New York, fut l’un des (...)